SPPI n'exécute pas elle-même les ordres qu'elle décide d'initier pour le compte des OPC ou des mandats de gestion qu’elle gère, elle les transmet pour exécution à des intermédiaires agréés.
SPPI a pris les mesures raisonnables permettant la meilleure exécution possible des ordres qu’elle transmet aux intermédiaires, conformément aux termes de la Directive 2014/65/UE, dite « Directive MIF II ».
SPPI sélectionne, pour chaque classe d'instrument financier utilisée, les intermédiaires auprès desquels ses ordres sont transmis.
SPPI a mis en place semestriellement un comité d’évaluation des intermédiaires « Comité courtiers ». Ce Comité sur la base de l’évaluation réalisée met à jour une liste des intermédiaires autorisés par classe d’instruments financiers traités.
L’évaluation de chaque intermédiaire est réalisée par le « Comité courtiers » en tenant compte des trois facteurs énumérés ci-dessous :
- prix ;
- coûts ;
- rapidité ;
- probabilité d’exécution et de règlement ;
- taille et nature de l’ordre.
Le prix et la liquidité sont dans la plupart des cas les deux facteurs déterminants. Cependant, dans certaines circonstances, nous pourrons être amenés à décider, à notre discrétion, que d’autres facteurs puissent être plus importants en vue d’obtenir le meilleur résultat possible.
Les critères d’évaluation sont revus périodiquement afin de garantir une évaluation efficace des intermédiaires.
Sélection d'un nouvel intermédiaire financier
Chaque membre du « comité courtiers » peut proposer l’intégration de nouveaux intermédiaires.
Le membre du comité à l'origine de la proposition motive sa demande en présentant les spécificités et les atouts de l’intermédiaire proposé.
Le référencement est acté par l’accord conjugué du « Comité courtiers » et de la fonction conformité.
Frais d'intermédiation
Un compte rendu des frais d'intermédiation pourra être communiqué au client sur simple demande.
Financement de la recherche
SPPI fait appel à des tiers avec lesquels elle a contractualisé dans le cadre d’un service de recherche (par opposition aux recherches génériques envoyées par les contreparties/brokers).
Les frais de recherche sont directement pris en charge par les fonds pour la gestion collective.
Concernant la gestion privée, ils sont directement imputés sur les fonds propres de la société de gestion.